A croire que nous avons besoin de grandes claques pour réagir !
Il m’a fallu une dernière claque pour me dire que je devais cesser d’avoir les mêmes comportements avec les hommes, que je devais cesser d’attendre le prince Charmant pour bouger mes petites fesses.

La claque donnée par un malotru s’est transformée en cadeau… et m’a appris à transformer tous les challenges que m’offrent la vie en opportunités.Alors, oui, je vais grogner dans un premier temps, je vais être en colère mais de plus en plus vite, mon cerveau va se connecter aux avantages des situations que je vis et là, s’ouvre un panel de choix qui s’avèrent encore mieux que ce que j’avais imaginé.

Avec cet homme, j’avais connu l’état amoureux qui vous rend légère et puissante à la fois. J’étais prête à déplacer des montagnes, j’avais des ailes pour m’envoler. La rupture m’a coupé les ailes pendant quelques jours et j’ai compris que si je voulais retrouver cet état de puissance et de légèreté cela ne tenait qu’à moi….J’avais du pouvoir sur ma vie, je pouvais devenir le fruit de mon imagination.Alors je me suis imaginée comme une femme invincible, une femme qui pouvait être un modèle pour ses congénères et là, la partie la plus créative de mon cerveau a pris le relais….et j’ai vécu des états mentaux « orgasmiques ».


« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne sommes pas à la hauteur. Notre peur fondamentale est que nous sommes puissants au-delà de toute limite. C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraye le plus. Nous nous posons la question: « Qui suis-je moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux? » En fait qui êtes-vous pour ne pas l’être ? Vous restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour vous éviter d’insécuriser les autres. Elle ne se trouve pas non plus chez quelques élus. Elle est en chacun de nous. Et au fur et à mesure que nous laissons brûler notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même. Si nous nous libérons de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres »;

–Nelson Mandela Extrait du discours d’investiture à la présidence de l’Afrique du Sud en 1994–